Ritu 26, deux fois 13...
Ou : On ne se méfie jamais assez, non seulement du 7, mais de tout le mois de février
Nous avons toujours mis en avant, auprès des autorités subsidiantes, le fait que Ritu draine à Liège un nombre significatif d'étrangers qui, sinon, n'y auraient jamais mis les pieds. Et qui en repartent ravis, et, parfois, y reviennent pour y faire du tourisme sous une météo plus clémente.
Mais cette année, nous avons aussi fait travailler les hôpitaux : ça a commencé fort, avec le cuisinier de l'Auberge Simenon qui a décidé de se mettre en chômage technique en se passant le doigt dans la trancheuse. Vincent Pagacz l'a emmené à l'hôpital de la Citadelle dimanche dernier. Ca a continué avec un étudiant estonien, qui, après avoir fait une mauvaise chute (un peu alcoolisée, à ce qu'on dit...) dans sa chambre, a visité les urgences de l'hôpital Saint Joseph, où on l'a envoyé se faire pendre ailleurs, puis de la Citadelle.
Le Chef ne voulait pas être en reste. Il s'est donc payé une jolie crise d'appendicite, et est passé sur le billard la nuit de vendredi. A la Citadelle, lui aussi. Il va bien.

Alban Bouriez, membre de l'équipe technique, et par ailleurs beau-fils du Chef, trouvait que Saint Joseph était défavorisé dans toute cette histoire. Il a fait un incident cardio-vasculaire pour pouvoir rétablir l'équilibre. Il va bien, lui aussi.
A part ça, Ritu 26 se déroule bien, très bien même : programmation variée et de qualité, groupes enthousiastes, (rien que des nouvelles troupes, cette année), équipe technique impeccable, bénévoles motivés, le bonheur...
Alors, deux fois 13, porte-bonheur ou porte-malheur... ???
Monique
PS : aujourd'hui, lundi, le Chef est sorti de l'hôpital. Il est même déjà passé au bureau. Tout est rentré dans l'ordre, donc.

Nous avons toujours mis en avant, auprès des autorités subsidiantes, le fait que Ritu draine à Liège un nombre significatif d'étrangers qui, sinon, n'y auraient jamais mis les pieds. Et qui en repartent ravis, et, parfois, y reviennent pour y faire du tourisme sous une météo plus clémente.
Mais cette année, nous avons aussi fait travailler les hôpitaux : ça a commencé fort, avec le cuisinier de l'Auberge Simenon qui a décidé de se mettre en chômage technique en se passant le doigt dans la trancheuse. Vincent Pagacz l'a emmené à l'hôpital de la Citadelle dimanche dernier. Ca a continué avec un étudiant estonien, qui, après avoir fait une mauvaise chute (un peu alcoolisée, à ce qu'on dit...) dans sa chambre, a visité les urgences de l'hôpital Saint Joseph, où on l'a envoyé se faire pendre ailleurs, puis de la Citadelle.
Le Chef ne voulait pas être en reste. Il s'est donc payé une jolie crise d'appendicite, et est passé sur le billard la nuit de vendredi. A la Citadelle, lui aussi. Il va bien.

Alban Bouriez, membre de l'équipe technique, et par ailleurs beau-fils du Chef, trouvait que Saint Joseph était défavorisé dans toute cette histoire. Il a fait un incident cardio-vasculaire pour pouvoir rétablir l'équilibre. Il va bien, lui aussi.
A part ça, Ritu 26 se déroule bien, très bien même : programmation variée et de qualité, groupes enthousiastes, (rien que des nouvelles troupes, cette année), équipe technique impeccable, bénévoles motivés, le bonheur...
Alors, deux fois 13, porte-bonheur ou porte-malheur... ???
Monique
PS : aujourd'hui, lundi, le Chef est sorti de l'hôpital. Il est même déjà passé au bureau. Tout est rentré dans l'ordre, donc.
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